Gaël Monfils, battu par Frederico Gil, 7–6[6] 6–2 :
« Je n’avais pas énormément de confiance, c’est ce qui m’a manqué pour finir les points. Je n’ai pas su faire suffisamment de changements de rythme, pas su frapper assez fort, pas su venir à la volée. Je n’ai pas réussi à exploiter les cloches qu’il m’envoyait en fond de court. Il m’a manqué un peu de peps pour la puncher, la prendre plus tôt. Je l’avais dit hier que ce serait un match piège. C’est vrai que lorsque je n’ai pas beaucoup de confiance comme ça, je préfère jouer des attaquants. Contre ce genre de mecs, comme Gil, qui bataillent du fond, si ne me sens pas encore très bien, je rentre dans leur jeu, je n’arrive pas à faire la différence et ça devient des matches pièges. Mais tout le crédit revient aussi à Gil. Il a bien joué le coup, il n’a pas raté et bien exploité mes balles courtes. Il a bien cavalé le salaud (Sourire) ! Même s’il n’est pas trop « connu », ça reste un bon joueur de terre. Il n’a pas fait un vieux match. Au contraire ! »
De votre envoyée spéciale à Monte Carlo
Publié le jeudi 14 avril 2011 à 17:07