Interviewée par nos confrères de Puntodebreak suite à sa magnifique prestation à l’US Open, Leylah Annie Fernandez a notamment été questionnée sur l’absence de son père et entraîneur lors de cette quinzaine. Et la Canadienne ne cache pas que cela a un lien avec une certaine forme de superstition…
« En tant que fille, j’aurais bien sûr aimé que mon père soit là avec moi à New York, c’est mon papa. Mais honnêtement, je suis content de la façon dont nous avons fait les choses, en tant qu’athlète, je suis aussi très superstitieuse. Si quelque chose change, je sais que je n’aurais pas été heureuse ou calme en jouant, j’aurais été contrariée. En tant qu’athlète, je suis heureuse d’être allée au bout de ces deux semaines ; en tant que fille, j’aurais aimé qu’il soit là, c’est mon père, mais c’est aussi mon entraîneur. »
Publié le vendredi 24 septembre 2021 à 14:59