Cela devient un rituel chez Daniil Medvedev mais un enfer pour les organisateurs.
Après son premier tour, le Russe fait toujours une analyse précise concernant les conditions de jeu. A Bercy, il avait notamment déclaré que la surface était lente avant que Guy Forget n’explique que c’était exactement la même que la saison précédente où il avait triomphé.
Cette fois, à Turin, après son succès face à Hurkacz, le Russe n’a pas voulu parler de tactique en conférence de presse expliquant qu’il n’avait pas eu besoin d’en mettre une en place car il suffisait de taper dans la balle très fort dans le court, la surface ultra rapide faisant le reste.
Ces analyses ont un peu agacé, c’est le moins que l’on puisse dire, un des ses compatriotes, un certain Ievgueni Kafelnikov, ex‐numéro 1 mondial, vainqueur de 27 titres dont un Roland‐Garros et un Open d’Australie, rien que ça…
Dans un tweet plein d’humour, Kafel remet à sa place Daniil en évoquant deux anciens tournois connus pour avoir proposé à l’époque une vraie surface très rapide (NDRL : C’était de la moquette).
Il s’agissait du tournoi de Stockholm qui s’est joué un temps au Globe et bien sur celui de Milan où Roger Federer a remporté dans des conditions très particulière le premier titre de sa carrière face à un certain Julien Boutter.
Publié le lundi 15 novembre 2021 à 09:29