Paula Badosa aime cogner, et elle n’est pas la seule sur le circuit féminin. Du coup, quand un échange dure, comme celui‐ci face à la jeune Fruhvirtova (16 ans), on se demande vraiment si cette scène n’a pas été déjà vue des millions de fois.
On ne va pas minimiser la performance de ces deux championnes mais il faut bien avouer qu’il semble bien que la pensée unique dans le tennis féminin soit toujours la même depuis une décennie : frappe fort et met la balle dans le court, à un moment donné ton adversaire ne tiendra pas le rythme.
C’est aussi pour cela que l’on aimait Ashleigh Barty et c’est aussi pour cela qu’elle était vraiment et nettement au dessus du lot.
Publié le mardi 29 mars 2022 à 10:51