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Djokovic, mal aimé ? Le comble de l’irrationnel !

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Il y a dans le parcours de Novak Djokovic une ligne directrice. 

Là où d’autres cham­pions ont eu une enfance paisible chou­choutée dans un envi­ron­ne­ment propice à la perfor­mance et à l’in­tros­pec­tion conti­nuelle, Novak lui a grandi en Serbie. 

C’est le jour où il a vu Pete Sampras gagner son premier Wimbledon qu’il s’est dit qu’il devait peut‐être prendre une raquette dans sa main.

Encouragé par ses parents, le petit Novak a gravi tous les éche­lons pour devenir un joueur du Top 10. 

C’est à ce moment qu’il a compris que s’il voulait aller cher­cher des titres majeurs, il devait forcé­ment trouver une voie, un chemin diffé­rent de celui des tauliers de l’époque, Roger Federer et Rafael Nadal. 

Ce fut le début de son aven­ture, de sa prépa­ra­tion au milli­mètre, de son régime alimen­taire spéci­fique, de l’ins­tal­la­tion de son style, et d’un gâteau à se partager à trois.

Et c’est surement ce qui a construit cette fameuse légende du joueur mal aimé, de celui qui brouille les cartes d’un tennis esthé­tique dicté par un formi­dable Roger Federer et d’un tennis de la pugna­cité signé Rafael Nadal.

Pourtant si l’on regarde son parcours tennis­tique et que l’on s’at­tache à observer sa tech­nique, il n’y a rien de discutable. 

Enfin, d’un point de vue mental, on peut légi­ti­me­ment se demander qui sur le circuit aurait pu accepté l’inac­cep­table, la « prison », les insultes et tout ce qui va avec alors même que le seul souci d’un cham­pion du circuit reste souvent une bles­sure grave ou un problème sentimental.…