Il n’y en pas deux comme Daniil Medvedev sur le circuit.
Le joueur russe est unique et il l’a encore prouvé lors de sa demi‐finale contre Carlos Alcaraz à Pékin ce mardi.
Sur un coup droit puissant de son adversaire, Medvedev a fait semblant d’avoir été touché et de souffrir, avant de sourire et de lever le pouce pour rassurer l’Espagnol, amusé par le « cinéma » du 5e mondial.
Sacré Daniil.
Publié le mardi 1 octobre 2024 à 11:31