De retour d’une blessure à la cheville, Kim Clijsters fait partie des favorites même si sa préparation a été très perturbée. En attendant de faire son entrée dans le tableau contre la Bélarusse Anastasiya Yakimova, la Belge s’est confiée sur des considérations toutes autres : une histoire de couleur…
En effet lors du tournoi de Madrid on a notamment évoqué l’idée de faire jouer la compétition sur des terrains en terre battue bleue. Si cette dernière ne trouve pas ça très » naturel « , elle confie que la perception de la balle sur terre battue rouge est plus compliquée : » Il faut une demi‐seconde en plus pour voir la balle sur terre battue. Le contraste n’est pas aussi fort que sur une surface foncée. Il y a une différence si le soleil tape fort, s’il y a du vent, de la poussière dans l’air, ces choses qui ont une incidence sur votre vision de la balle, la vision que vous avez sur le court. Je préfère un bleu sombre, même un violet, parce qu’il y a plus de contraste avec les balles jaunes. Cela ressort plus. En effet, je préfère une surface bleue sur surface dure. Je ne dirais pas bleue sur la terre battue, parce que c’est bizarre ; ce ne serait pas très naturel « .
De votre envoyée spéciale à Roland Garros.
Publié le vendredi 20 mai 2011 à 16:55