L’Italie s’installe à la Porte d’Auteuil. Si chez les hommes, c’est le calme plat ce n’est pas le cas chez les filles. Avec Schiavone qui a remporté le titre en 2010, qui a été finaliste en en 2011, on peut se poser légitimement la question de l’effet Schiavone. A cette question, Errani préfère répondre : « Je ne sais pas si il y’ a un effet Schiavone. La vérité c’est effectivement qu’elle a remporté le titre ici, et que je suis en finale. Et en plus, nous sommes également en finale en double. Il est évident que le parcours de Francesca est un bel exemple, mais l’important pour moi est de jouer mon jeu, d’essayer de rester sur le court le mieux que je peux sans trop réfléchir à ce que cela représente, l’idée directrice est de jouer mon jeu, tout simplement »
De votre envoyé spécial à Roland Garros
Publié le jeudi 7 juin 2012 à 19:39