Après sa belle perf’ sur John‐Patrick Smith (197e) au premier tour des qualifications, Corentin Denolly a expliqué ce qu’il ressentait et comment il gérait la pression, toujours particulière pour un joueur tricolore du côté de la Porte d’Auteuil. L’Isérois s’est appuyé sur sa présence ce lundi où il était venu soutenir ses amis.
De votre envoyé spécial à Roland‐Garros
Publié le mardi 22 mai 2018 à 14:15