En août lors de son interview exclusive Ion Tiriac avait critiqué l’entourage de Carlos Alcaraz en expliquant qu’il tirait trop sur la corde : « C’est un joueur talentueux, il est sensationnel, il a une vitesse de jambes et une puissance incroyable, mais je trouve que l’on en fait un peu trop autour de lui, que l’on veut déjà en retirer les fruits au niveau économique alors que l’on est qu’au début de sa carrière » avait expliqué Ion.
Ion a eu du nez si on analyse la fin de saison de l’Espagnol qui ne s’est jamais arrêté de bouger, de signer des deals, et de participer à des exhibitions ou autres festivités. Heureusement, la seule petite période où Carlos va pouvoir se reposer sera les fêtes de fin d’année.
En gros, il sera chez lui au calme pendant maximum 6 jours jours. C’est presque une éternité tellement il semble « pressé » comme un citron pour un management un peu trop axé sur une forme de rentablité économique.
Même si rien n’est comparable, Sinner en fait moins, Zverev en fait moins et Novak a décidé lui de couper pour mieux répartir.
Au delà des efforts physiques, des décalages horaires, Carlos va reprende l’entrainement sans avoir eu le temps de se poser tranquillement.
Un choix forcément discutable et qui risque de se payer cher à un moment donné.
La carrière d’une légende se construit aussi en faisant des choix au niveau marketing. Pour l’instant, il semble bien que la direction choisie soit celle de « tout ce qui est pris n’est plus à prendre… »
Publié le lundi 16 décembre 2024 à 09:21