La relation entraîneur‐joueur qu’entretiennent Juan Carlos Ferrero et Carlos Alcaraz est assez unique sur le circuit professionnel. Presque comme un deuxième père, le premier n’hésite pas à recadrer parfois sévèrement le deuxième sur certaines dérives que cela soit sur et ou dehors du court.
Et après avoir reconnu que Ferrero était un coach très dur avec lui mais fondamental pour sa progression, le récent vainqueur de Roland‐Garros et de Wimbledon a également évoqué avec humour une certaine retenue sur le court concernant certains coups.
« Souvent, je me sens plus limité que je ne le devrais à cause de lui à cause de ce qui pourrait m’arriver plus tard. J’ai remarqué cela sur le court. Chaque fois que je tente ou réalisé un de ces coups qui ne sont pas censés être exécutés, ceux pour le plaisir, je ne le regarde même pas parce que je sais qu’il va me donner une gifle depuis la box. »
Publié le mardi 23 juillet 2024 à 16:16