La relation entre Juan Carlos Ferrero et Carlos Alcaraz est beaucoup plus que celle d’un entraîneur avec son joueur.
Le récent lauréat de Wimbledon, qui a toujours comparé son coach à son deuxième père, est revenu pour nos confrères espagnols de Relevo sur les méthodes très rigoureuses du vainqueur de Roland‐Garros 2003 mais indispensables pour réussir au plus haut niveau.
« C’est un dur à cuire. C’est une personne très sérieuse quand il le faut. En termes de travail et de discipline, il est très dur, mais il est aussi très, très drôle quand il le faut. Il sait très bien différencier les moments mais, oui, il est très strict sur tout, sur le court, sur le professionnalisme, sur les choses que je dois améliorer en dehors du court, comme sur le téléphone, la ponctualité, le repos, etc. Mais je pense que c’est pour cela que j’en suis là aujourd’hui, c’est pour cela que j’ai grandi si vite, parce que s’il n’était pas aussi exigeant, j’aurais sûrement déraillé. »
Publié le vendredi 19 juillet 2024 à 19:30