Benjamin Bonzi poursuit son ascension. En l’espace d’un mois, il vient d’enchaîner un nouveau titre en Challenger (à Cherbourg), une demi‐finale à Marseille, une première sélection réussie avec l’équipe de France, et enfin, une victoire au 1er tour du Masters 1000 d’Indian Wells contre son ami, Arthur Rinderknech : 6–3, 7–5, en 1h23.
En pleine confiance, le 62e mondial aborde avec confiance son prochain match contre Lorenzo Sonego (21e).
« Comme tous les matchs, ça sera 50–50. Le niveau est super homogène. Je me sens bien donc pourquoi pas envisager de battre ces mecs‐là ? La différence n’est pas monstrueuse. Peut‐être que je vais me faire déchirer, peut‐être que je vais le déchirer, on ne sait pas. L’année dernière, ces joueurs‐là, je les emmerdais, mais je ne gagnais pas forcément. La grosse différence avec Marseille (sa première demi‐finale sur le circuit principal en février), c’est que j’ai réussi à les emmerder et à en battre un ou deux (notamment Aslan Karatsev, alors 15e mondial). Mentalement, c’est un cap passé. Je sens que je joue très bien donc il n’y a pas de raison que je n’ai pas une chance de gagner ce match », a assuré Bonzi dans des propos rapportés par L’Equipe.
Publié le vendredi 11 mars 2022 à 09:07