En conférence de presse avant son entrée en lice au deuxième tour du Masters 1000 de Miami, où il va affronter Rinky Hijikata (86e), Novak Djokovic a forcément été interrogé sur l’action en justice lancée par la PTPA (l’association des joueurs qu’il a co‐fondée en 2019 avec Vasek Pospisil) contre l’ATP, la WTA, l’ITF et l’ITIA.
« C’est un procès classique. Pour être franc avec vous, il y a des choses avec lesquelles je suis d’accord et il y a aussi des choses avec lesquelles je ne suis pas d’accord. Et je trouve que certains mots sont plutôt forts (« cartel » et « système corrompu » par exemple) mais j’imagine que l’équipe qui s’occupe de ça sait ce qu’elle fait et quelle terminologie elle doit utiliser pour provoquer quelque chose. Je n’ai jamais été un supporter de la division dans notre sport mais je me suis toujours battu pour une meilleure représentation des joueurs de manière globale. Je pense que nous ne sommes pas encore au point où on devrait être et où la plupart des joueurs pensent que nous devrions être. Pas seulement sur les questions de prize‐money mais aussi sur plein d’autres points qui figurent sur ce document. C’est un processus et pour être honnête, je ne peux pas prévoir comment tout ça va tourner. »
Publié le vendredi 21 mars 2025 à 15:48