Loin d’être un amoureux de la terre battue, Adrian Mannarino sait qu’il s’attend à vivre une « période compliquée » et confie, avec un large sourire, qu’il préfère être « à la mi‐juin ». Néanmoins, le Tricolore compte se servir de son expérience pour faire mieux que les saisons précédentes.
De votre envoyé spécial à Monte‐Carlo
Publié le lundi 17 avril 2017 à 18:06