Quatrième chronique du Directeur du Moselle Open dont le tirage au sort du tableau aura lieu ce vendredi. Julien revient sur la présence de Marat Safin en 2006 qui avait déchainé les passions.
« Il y a des joueurs qui ont marqué les esprits par leur jeu, leur charisme et leur physique, Marat Safin remplissait ses critères quand il est arrivé à Metz. D’ailleurs, Marat avait fait un vrai effort en terme de prix et on était honoré de sa présence. Cela a été un vrai boost pour le tournoi dont c’était la 4e édition. La négociation c’était finalement bien passé et Marat qui, sur le court pouvait être « limite », était en dehors un gars d’une gentillesse incroyable. Je me souviens que lorsque la billetterie a ouvert, il y avait une queue de 100 mètres devant les guichets. Cet effet Safin nous a fait un bien fou en terme de légitimité et même s’il a perdu assez tôt dans le tableau, le buzz créé par sa venue a été indéniable. »
Précédemment, Julien Boutter a évoqué avec nous trois autres temps fors du tournoi :
Première chronique : Déjà en 2006, Djokovic voulait être aimé.
Deuxième chronique : Brad Gilbert et la soupe à la grimace.
Troisième chronique : « Un jour, l’agent de Federer a décidé qu’il valait 20 fois plus que Pete Sampras et tout a flambé ».
Publié le vendredi 17 septembre 2021 à 09:21