Dans un article très documenté, l’Equipe évoque le fiasco napolitain.
On peut d’ailleurs s’étonner que les médias italiens, qui d’habitude en font des tonnes, restent assez cléments sur la situation du tournoi ATP de Naples.
Ce papier revient sur tous les soucis et les problèmes d’organisation d’un évènement qui devait être une vitrine pour la ville et qui se transforme chaque jour en fiasco.
Fiasco essentiellement lié à la qualité des terrains qui ont été fabriqués n’importe comment et qui par exemple ne peuvent supporter l’humidité. Alors pour palier à cet inconvénient, les organisateurs avaient décidé notamment d’organiser les qualifications dans un petit club non loin du site posé au bord de la mer.
Et là, c’est le joueur Aziz Dougaz qui a pu témoigner. « J’avais l’impression de jouer un tournoi national en France quand j’avais 15 ans, limité à 3⁄6. La surface était hyper rapide, les terrains pas refaits depuis une dizaine d’années, je pense. On demande des balles, il n’y en a pas. Il n’y avait même pas les bâches de l’ATP. Rien n’était prêt. »
Publié le jeudi 20 octobre 2022 à 09:50