Interrogé sur le fait qu’il allait rencontrer un des « amis » de la sélection de la Grande‐Bretagne de Coupe Davis, Edmund, le numéro 2 mondial était plutôt embêté par la situation : « Je n’aime pas ça, car en général, un des plaisirs de la vie sur le circuit c’est aussi de discuter tranquille dans les vestiaires avec ses potes. Là, je sais que ce ne sera pas possible, que l’ambiance sera pesante. Après, quand le match commence, le jeu prend le dessus et tout va bien. Une fois le match terminé, après un certain temps tout redevient comme avant, et j’ai presque envie de dire quel que soit le résultat.
Publié le mercredi 5 octobre 2016 à 19:51