Alors que plusieurs joueurs inscrit sur l’ATP 250 de Santiago, à l’image de Roberto Carballes Baena et Cristian Garin, ont déploré l’état lamentable du court, la directrice du tournoi a expliqué que ce qui faisait la beauté de la terre battue, c’était aussi son imprévisibilité.
« Nous considérons la terre battue comme une surface très difficile. Les matches et les points sont plus longs. Les mauvais rebonds qui se produisent rendent aussi les matchs plus divertissants », a lâché Catalina Fillol dans des propos rapportés par Punto de Break.
Publié le jeudi 29 février 2024 à 13:53