Comme le révèle notre confrère de L’Equipe, Quentin Moynet, le Canadien Félix Auger‐Aliassime qui a perdu la finale de l’UTS2 face à Alexandre Zverev n’est pas un fan de toutes les expérimentations faites à Sophia‐Antipolis.
Le Canadien est notamment assez opposé à l’idée du « coaching on court » qui dénature la nature du tennis : « Cela tue l’essence même du tennis qui est de trouver les solutions par soi‐même. »
Déja autorisé chez les filles, certains, comme Patrick Mouratoglou pousse pour qu’il puisse aussi se mettre en place sur le circuit masculin. Une situation qu’aurait du mal à accepter le natif de Montréal, et on le comprend aisément car nous partageons son opinion.
Publié le lundi 3 août 2020 à 08:42