En Australie, Stefanos Tsitsipas a encore donner du fil à retordre aux arbitres, et agacer ses adversaires, notamment Daniil Medvedev devenu furieux en demie. Cette fois, ce n’était pas à cause de longues pauses toilettes mais du comportement de son père, Apostolos.
L’entraîneur grec a une réputation sur le circuit, il est connu pour parler énormément à son fils pendant ses matchs. Un acte interdit par le règlement qui lui vaut parfois des avertissements.
Tsitsipas, fervent partisan du coaching sur le court, peut compter dans ce débat où son avis ne fait pas l’unanimité, sur le soutien d’une légende : Billie Jean King.
« Laissez les gens coacher…comme le père de Tsitsipas », a conseillé au cours du podcast Holding Court celle qui a gagné 12 titres du Grand Chelem en simple. Elle pense notamment à ceux qui doivent faire respecter cette règle : « De cette façon, le pauvre arbitre n’a pas à y prêter attention du tout ».
Pour BJK, le joueur réfléchira toujours par lui‐même de toute façon : « Tu as été entraîneur de la Coupe Davis (elle s’adresse à Patrick McEnroe, ndlr). Tu sais que tu peux dire ce que tu veux, ça ne veut pas dire que le joueur va l’appliquer ».
Publié le jeudi 17 février 2022 à 09:17