Sous le choc, le monde du tennis ne parle que de Jannik Sinner.
Beaucoup de joueurs ont déjà dénoncé un traitement de faveur pour le numéro 1 mondial, autorisé à continuer de jouer puis blanchi par un tribunal indépendant malgré deux tests positifs à une substance illicite en mars dernier.
Néanmoins, le professeur David Cowan, chargé de l’enquête, a fait une remarque importance concernant les quantités de clostébol (le produit illicite) trouvées dans les échantillons de l’Italien.
« Même si l’administration avait été intentionnelle, les quantités infimes susceptibles d’avoir été administrées n’auraient pas eu […] d’effet dopant pertinent ou d’amélioration des performances sur le joueur », a expliqué l’expert scientifique dans le rapport publié par l’Agence internationale pour l’intégrité du tennis (ITIA).
Publié le mercredi 21 août 2024 à 10:22