L’annonce a fait l’effet d’une bombe sur la planète tennis.
Malgré deux tests antidopage positifs lors du Masters 1000 d’Indian Wells en mars dernier, Jannik Sinner a pu continuer de jouer avant d’être blanchi par une tribunal indépendant.
Visiblement sceptique, Julien Varlet a fait référence à la suspension de la compatriote de Sinner, Sara Errani, il y a quelques années.
« Après les tortellinis de maman Errani, le spray dopant du kiné », a écrit l’ancien joueur français et actuel consultant.
Suspendue pour dopage il y a quelques années, l’Italienne avait pour rappel assuré que sa mère avait malencontreusement fait tombé un médicament dans le plat de pâtes à l’origine de sa contamination.
Publié le mercredi 21 août 2024 à 10:58