Ah, le ralentissement des surfaces… Un phénomène bien connu, une maladie rampante pour certains, une bénédiction pour d’autres. Pour lapresse.ca, Paul Roux affirme son appartenance au groupe des défenseurs du jeu d’attaque. Un groupe dont le représentant n’est rien moins que Roger Federer. « Je ne suis pas naïf. Avec des conditions de jeu plus lentes, les directeurs de tournoi protègent les meilleurs », explique ce dernier. « Ils assurent le prestige de leurs demi‐finales. » Paul Roux regrette évidemment cette situation. Mais considère, néanmoins, que 2012 a vu quelques velléités offensives intéressantes de la part de Djokovic, Murray et même Ferrer. A lire ici.
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Publié le mardi 27 novembre 2012 à 14:45