Les Australiens se sentent vraiment frustrés car comme les Argentins, une saison de tennis complète signifie aussi être très loin de chez soi pendant presque huit mois de l’année.
« Le circuit est fou si on le compare à n’importe quel autre sport. Le nombre de voyages que nous effectuons n’est pas logique d’autant plus que nous ne sommes pas payés comme nous devrions l’être, c’est une blague. C’est un sport très dur, surtout si vous venez d’Australie, car vous pouvez passer six, sept ou huit mois sans voir votre famille si vous vous engagez à respecter un calendrier chargé. On le voit chez des gars comme Medvedev, qui à la fin de l’année était tellement épuisé. C’est beaucoup trop long, je pense que nous pouvons tous être d’accord là‐dessus. »
Publié le jeudi 2 janvier 2025 à 09:56