Le blanchiment de Jannik Sinner, testé positif à deux reprises en mars dernier, suscite plusieurs interrogations chez d’autres joueurs n’hésitant pas à dénoncer un traitement de faveur. Pourquoi l’Italien a‑t‐il pu jouer pendant la durée de l’enquête ? Et pourquoi la révélation a été aussi tardive ?
« Que Sinner se soit dopé ou non, ce n’est pas juste. De nombreux joueurs subissent la même chose et doivent attendre des mois, voire des années, avant que leur innocence ne soit déclarée. Ce n’est pas très reluisant », a par exemple estimé Liam Broady, ex‐93e et actuel 287e mondial.
Publié le mercredi 21 août 2024 à 12:50