Denis Shapovalov n’est pas un « bad boy ». Sa disqualification à Washington démontre une nouvelle fois qu’il n’y a pas vraiment de fil conducteur concernant les sentences prononcées par les officiels. C’est tout simplement le point qui dérange le Canadien, victime d’un système.
« Les derniers jours n’ont pas été faciles, ni pour moi ni pour mon équipe. Je n’ai pas dormi pendant deux nuits. Je n’ai pas eu la chance de bien récupérer. Pendant plus de 48 heures, je ne pensais qu’à ça. C’était très stressant. À un certain moment après le match, c’était tellement injuste que je n’étais pas certain de jouer cette semaine, ou même tout court. J’avais l’impression qu’on m’avait volé quelque chose sans raison valable. Je méritais certainement un avertissement et ça aurait dû s’arrêter là. »
Publié le mardi 6 août 2024 à 09:41