Hier, The Telegraph a annoncé une possible révolution avec l’offre de deux milliards promise par l’Arabie Saoudite pour fusionner l’ATP et la WTA en un seul circuit et donc faire exploser l’ordre relatif qui existe aujourd’hui.
Pour éviter ce « désastre », Craig Tiley, le grand patron de l’Open d’Australie s’agiterait en coulisses pour que les tournois du Grand Chelem puissent créer un nouveau circuit qui serait un concurrent au projet saoudien.
On est dans une situation explosive d’autant que l’offre de l’Arabie Saoudite ne serait valable que trois mois.
Au final, le sujet est toujours le même et c’est vraiment ce qui est gênant.
Il n’est pas question d’améliorer l’aspect sportif ou de respecter l’histoire, de construire un calendrier cohérent, il est juste question de carnet de chèques et de chaises musicales.
Andrea Gaudenzi déjà très fier d’être patron de l’ATP se voit déjà dans des jets à parcourir le monde en tant que grand chef du tour made in Arabie Saoudite, et Tiley comme il l’a toujours fait tente de gonfler le torse pour devenir un héros national.
Côté joueurs pour l’instant, aucune déclaration publique mais il est clair que les portables doivent chauffer surtout chez les cadors. Après malgré ses beaux mots, il y a de grandes chances que l’argent l’emportera sur tout le reste comme c’est déjà le cas dans le golf et le football. Certains disent que l’argent n’a pas d’odeur, c’est encore plus vrai si tout cela se met en place.
Publié le mercredi 13 mars 2024 à 12:22