Dans un récent entretien accordé au journal Le Monde, Toni Nadal résume à sa manière le tennis moderne basé presque uniquement sur la notion de puissance. Sa comparaison osée avec le football lui appartient mais elle est pas dénuée de fondements.
« Imagine‐t‐on un match de football qui commencerait par un penalty ? Ce serait un peu absurde. Pourtant c’est un peu ce qui se fait en tennis car les services sont de plus en plus difficiles à retourner. Face à un joueur comme Giovanni Mpetshi Perricard, qui sert ses secondes balles à 220 km/h, il n’y a aucune tactique possible à part laisser passer l’orage. »
Publié le mercredi 19 mars 2025 à 12:45