Dans le magazine 40A, édité par le groupe So Presse juste avant Roland‐Garros, c’est Stefanos qui faisait la une. Dans l’entretien accordé à ce nouveau support qui paraitra qu’une fois par an, le Grec dévoile sa personnalité.
Voici le dernier extrait que l’on vous propose. Il peut aider à comprendre l’hyper‐ sensibilité de ce joueur plus qu’attachant. Extraits.
« Je n’avais pas beaucoup d’amis. Je n’étais pas un gamin difficile, je n’ai jamais posé problème, j’étais juste dans mon coin. Mais j’ai quand même été harcelé entre mes 10 et 14 ans. »
Question : C’était du harcèlement moral ou physique ?
« Les deux. Du harcèlement, quoi ! Un jour, je suis allé voir le principal de mon école qui m’a dit, en gros, qu’il ne pouvait rien faire. J’étais en colère, frustré, je me sentais seul, sans solution. Du coup, je me suis réfugié, à fond dans le tennis sans trop savoir à l’époque si j’arriverais un jour à côtoyer les Federer, Nadal, Djokovic que je regardais alors à la télé. Je pensais que quand je débuterais ma carrière pro, ils ne seraient plus là… mais si. »
Le numéro 1 de 40A est toujours dans les kiosques au prix de 6,5 euros et c’est un collector pour ceux qui aiment le tennis.
Publié le mercredi 16 juin 2021 à 11:46