Tomas Berdych estime qu’il n’y pas de favori avant de débuter la finale, cet après‐midi.
« Il n’y a ni favori ni outsider dans cette finale. Chacune des deux équipes dispose de ses propres atouts grâce auxquelles elle a accédé à la finale. Mais le choix de la surface et la présence de nos supporteurs, ce sont certes des arguments supplémentaires en notre faveur. La surface répond à nos attentes, elle est bien rapide. »
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Publié le vendredi 16 novembre 2012 à 11:29