« Ce sera dur ». Ces mots sont signés David Ferrer. Leader de la sélection espagnole en l’absence de Rafael Nadal, il s’attend à une rencontre compliquée. Il faut dire qu’en dix confrontations, c’est le statut quo entre les deux nations. Elles ont remporté chacune cinq rencontres. Mais Ferrer se montre tout de même optimiste.
« Ce sera dur contre les Etats‐Unis. C’est toujours serré contre eux. On est peut‐être favoris parce que l’on sera à domicile mais la dernière fois que nous les avons joués, c’était chez eux, à Austin, et on avait gagné (3−1 en quarts de finale en 2011). Alors… Ça m’est égal d’évoluer sur dur ou sur terre, mais l’ocre, c’est mieux pour nous. Et puis, nos adversaires préfèrent les surfaces rapides ».
Publié le jeudi 13 septembre 2012 à 15:42