C’est une figure du tennis féminin français qui s’est éteinte cette semaine. Annie Soisbault, grand espoir des années 50, est en effet décédée. De multiples fois championne de France mais aussi finaliste à Wimbledon en 1953, son nom reste associé à la compétition que son père avait créée.
La coupe Soisbault a été disputée pour la première fois en 1965 et a regroupé huit nations. Elle avait notamment été instaurée pour permettre aux plus jeunes joueuses d’avoir une compétition internationale. Annie Soisbault était une fervente supportrice du projet de son père, puisqu’elle venait constamment assister au déroulement de la compétition. C’était d’ailleurs elle qui remettait le trophée à chaque tournoi.
Les prochaines éditions de la compétition n’auront probablement plus la même saveur…
Publié le jeudi 20 septembre 2012 à 13:15