Suite à l’affaire Armstrong qui a éclaboussé le cyclisme professionnels en cette fin d’année, les réactions dans le monde du tennis ont été nombreuses. Roger Federer puis Andy Murray entre autres se sont exprimé sur la nécessité d’accroitre le nombre de tests sur le circuit. La déclaration de Stuart Miller adressée à l’Associated Press va dans ce sens. Le responsable de la lutte antidopage à l’ITF prend en considération les requêtes des joueurs et émet même l’hypothèse de la création d’un passeport biologique comme cela existe déjà dans le cyclisme ou l’athlétisme. Selon lui « ce serait bien » que le tennis établisse un système de surveillance similaire en 2013. De bonne augure quand on sait que seuls 21 tests sanguins ont été pratiqué au cours de l’année 2011, dont 3 seulement sur le circuit WTA.
« Nous travaillons fort pour essayer d’augmenter la proportion des tests hors‐compétition et en particulier des tests sanguins. Nous travaillons là‐dessus depuis un moment. J’ai bon espoir que, d’ici la fin de l’année, nous aurons fait des progrès pour améliorer ça. Mais comme tout programme antidopage, nous sommes soumis à des contraintes de ressources. Nous envisageons très sérieusement le programme de passeport biologique de l’athlète au tennis. »
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Publié le mercredi 14 novembre 2012 à 11:05