Vainqueur en 5 manches lors d’un combat de puncheur face à Andreev (6−7 [5], 7–6 [5], 6–3, 3–6, 6–3) en 3h32’), Roger Federer a du sortir l’artillerie lourde pour venir à bout du Russe même si tout ne fut pas parfait. Mais l’ancien numéro 1 a montré qu’il avait du coeur, qu’il était attiré par le filet même si en face Andreev a fait lui aussi un gros match. En quart de finale il aura peut‐être l’occasion de se « reposer » face à l’étonnant Gilles Muller, un signe du destin ?
Publié le mercredi 3 septembre 2008 à 06:25