On peut légitimement se poser une question liée à ce qu’il faut appeller l’Affaire Dominguez. En effet, comment est‐il possible que le patron de la DTN dont le programme avait été voté cette année à l’unanimité par le conseil fédéral, après avoir été soumis au ministère, soit aujourd’hui licencié. Que s’est‐il donc passé entre ce vote et cette décision ?
Difficile de comprendre ce revirement qui fait suite à d’autres mouvements importants au sein de la fédération. Parler d’une influence d’Arnaud Lagardère est un réflexe qui demande un appronfondissement et quelques preuves bien qu’il soit clair que le président de la fédération, dès son arrivée, a insisté sur un « rapprochement philosophique » entre les structures oeuvrant pour le tennis et pas uniquement le team Lagardère. Sentiment qu’il nous a confirmé lors d’un très long entretien‐dossier qui sera publié dans notre prochain numéro de GrandChelem qui sortira juste après l’US Open.
Publié le dimanche 30 août 2009 à 12:38