Défait au premier tour à Valence par Nikolay Davydenko, Gilles Simon explique ses mauvais résultats par un nouveau type de jeu qu’il essaie de mettre en place depuis quelques mois. Le Français regarde vers le futur, comme le rapporte l’Equipe dans son édition du jour.
« L’US Open m’a clairement montré mes limites. Il faut savoir ce qu’on veut, ce n’est pas compliqué : Moi, je joue 10. Si je reste dans ma routine, je ne vais pas aller plus haut. Or, dans ce job, si on ne progresse pas, on recule. Depuis plusieurs mois, j’essaie de mettre des trucs en place et de m’y tenir, quel que soit l’adversaire et le score. Il faut que je lutte contre ma nature. Car je sais où elle me mènera… ou ne me mènera pas. »
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Publié le mardi 1 novembre 2011 à 12:58