La faim justifie quelques fois les moyens et les organisateurs du tournoi de Mexico n’ont pas lésiné pour que leur court central soit nickel pour assurer une fin de tournoi exemplaire.
On a donc sorti le matos de chantier pour aplanir la surface qui proposait quelques faux rebonds.
On ose imaginer la même scène sur le Philippe Chatrier.
Il faut dire que la terre battue parisienne est considérée à juste titre comme la meilleure du monde, elle n’a donc pas besoin de ce traitement mexicain un peu grossier.
Publié le samedi 9 avril 2022 à 09:50