La polémique autour des contrôles anti‐dopage ne s’arrête décidément pas. Aujourd’hui, Virgine Razzano raconte dans Libération la mésaventure arrivée à Amélie Mauresmo il y a quelques semaines. « L’autre problème, c’est que la procédure est très rigide, raconte Razzano. Si on n’est pas là lorsque la personne qui vous contrôle passe chez vous, on se prend un avertissement. C’est arrivé à Amélie Mauresmo en début d’année. Le contrôleur de l’AMA [Agence mondiale anti‐dopage] passe chez elle vers 21 heures, mais elle était au resto. Manque de bol. Quand elle rentre chez elle et trouve un Post‐it sur sa porte pour lui dire qu’elle a un avertissement. Et quand on sait qu’au bout de trois avertissements, on est suspendu, ça fait flipper. »
Publié le mercredi 18 février 2009 à 14:23