Gagner le tournoi de Tokyo, qui est quand même un 500, c’est une belle performance qui mérite d’être couronnée comme il se doit. Et déjà que Kei Nishikori a eu le privilège d’être le premier Japonais de l’histoire à remporter ce tournoi, il a aussi bénéficié du traditionnel prix remis par le sponsor du tournoi Corona : Un an de bières à profusion ! Génial non ? Et bien en fait… pas forcément, comme l’a lui‐même expliqué Nishikori dans des propos relayés par Reuters.
« Je ne sais pas ce que je vais faire d’une année de bière Corona. Je n’aime même pas la bière »
Qui se dévoue pour lui tenir sa pinte ?
Nishikori : « Le top 10… et un Grand Chelem »
Nishikori, le jour de grâce
Publié le lundi 8 octobre 2012 à 17:34