Exclu du territoire australien dans des conditions rocambolesques en janvier dernier avec le sujet du vaccin en toile de fond, Novak Djokovic suscite une véritable obsession de la part de certains politiciens du pays des kangourous.
Officiellement blessé aux côtes après une fissure et absent de 4 à 6 semaines du circuit, Rafael Nadal a été pris en exemple par le député Craig Kelly pour émettre un sous‐entendu plus que limite.
En effet, après que l’Espagnol ait déclaré, « quand j’essaie de respirer, c’est douloureux et c’est très inconfortable. C’est comme une aiguille tout le temps à l’intérieur. J’ai un peu le vertige parce que c’est douloureux. C’est une sorte de douleur qui me limite beaucoup », le politicien australien a écrit sur son compte Twitter : « Bien, bien… Je me demande ce que dirait Djokovic. »
Non‐vacciné et considéré comme l’un des leaders du mouvement anti‐vaccin par le tribunal qui l’a jugé et les responsables politiques actuels de l’Australie, le numéro 1 mondial serait, dans l’imaginaire de Kelly, sceptique à propos des déclarations de l’Espagnol. En somme, le député sous‐entend que Djokovic pourrait considérer la blessure de son rival comme un effet indésirable de la vaccination étant donné son « statut » d’anti‐vax.
On nage en plein délire…
Publié le mardi 22 mars 2022 à 18:14