En conférence de presse, après son succès en deux manches face à Tommy Paul, Carlos a évoqué un niveau de fatigue très important.
Il faut dire que depuis Roland‐Garros, l’Espagnol n’a pas eu une vraie coupure.
De plus, ses succès à Paris et Londres l’ont obligé à répondre à beaucoup de sollicitations.
Si on rajoute à cela le double avec Nadal, on comprend qu’il soit un peu au bout du rouleau physiquement et émotionnellement.
Du coup, il s’accroche et cherche la motivation dans l’idée de représenter au mieux son pays.
« Quand j’arrive à Roland Garros, l’ambiance est totalement différente de celle du tournoi lui‐même. Il y a beaucoup plus d’animation, des gens des différents pays et je remarque qu’il y a aussi beaucoup de drapeaux espagnols. Sur les réseaux c’est pareil via les réseaux sociaux et les messages que je reçois, c’est quelque chose de très agréable, une belle énergie positive. Je joues pour l’Espagne, ce qui pour moi est l’une des plus belles choses au monde et c’est ce qui me pousse et qui me fait ne pas penser à la fatigue, mais plutôt donner tout ce que je peux. Ce qui me tient encore debout c’est de jouer pour mon pays »
Publié le vendredi 2 août 2024 à 10:45