Après trois échecs en demi‐finales (Pékin 2008, Londres 2012 et Tokyo 2021) et une élimination dès le premier tour (Rio 2016), Novak Djokovic s’est enfin hissé en finale des Jeux Olympiques à 37 ans.
Une véritable libération pour le Serbe qui a vécu cette qualification presque comme une victoire, ce qui est rare pour être souligné.
Notre consoeur Carole Bouchard, qui connaît très bien Nole pou avoir écrit un livre à son sujet (Novak Djokovic – La Quête de Roland‐Garros, paru en 2017), a d’ailleurs parfaitement résumé le sentiment qu’il doit éprouver.
« Après l’absolu crève‐coeur de Djokovic à Londres, Rio et Tokyo, il est plus que juste qu’il remette (enfin) la main sur une médaille olympique. Il a perdu une demi‐finale serrée contre Nadal à Pékin en 2008 et y a remporté la médaille de bronze. Mais depuis ça ? Une malédiction. Il y met fin à Paris et c’est une bonne chose. »
Publié le samedi 3 août 2024 à 13:33