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Apolline pour tout le monde

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Comme vous avez pu vous en rendre compte, Apolline a aujourd’hui porté le fer sur deux, trois de nos « posteurs » en leur répon­dant pied à pied sur l’en­semble de leurs argu­ments, et on est en mesure de situer où toute l’af­faire s’est terminée, comme elle se termine à chaque fois : à la cave. Apolline a égale­ment enlevé cette semaine beau­coup de posts qui polluaient le site en parlant de plein de choses sauf de tennis. Jusqu’à présent, la ligne du site et du projet a toujours été de laisser l’es­pace libre pour l’ex­pres­sion de tous. Si nous inter­ve­nons bien plus ces derniers temps, c’est qu’il est hors de ques­tion que les lecteurs de GrandChelem‐Welovetennis progressent moins vite que le niveau des articles et des inter­views qui leur sont proposés. Les débats inces­sants sur les aspects les plus para­si­taires d’in­for­ma­tion de première main que nous vous offrons est plus que saou­lant à la longue. Cette semaine, des inter­views excep­tion­nelles d’Onesta, de Grospiron, de Chamalidis, de Toni Nadal, de quatre coachs fran­çais, de Fabrice Santoro sont venus nourrir et ouvrir bien des ques­tions mille fois plus impor­tantes que les combats de troll nourris par certains. Sachez que la marche du site ne se fera que dans un seul sens : plus la qualité de l’in­for­ma­tion montera, plus les inter­nautes qui s’ex­priment sur GC‐WLT ont intérêt à monter en gamme dans ce qu’ils racontent, dans le ton qu’ils prennent et égale­ment dans la qualité de l’écri­ture. Nous préfé­rons un seul post intel­li­gent, bien rédigé, de la part de quel­qu’un qui prend la peine de réflé­chir à ce qu’il raconte en nous appor­tant une infor­ma­tion que nous n’avons pas, que six posts de réac­tions épider­miques en trois minutes qui ne nous apprennent rien sur les obses­sions fana­tiques de chacun. Pour le reste, GC‐WLT reven­dique ses goûts et ses choix édito­riaux jusqu’au bout de ses doigts de pieds. Encore une fois : que ceux qui n’y trouvent pas leur bonheur aillent se balader ailleurs. La toile est large. 

PS : Comme vous le noterez, ce texte n’au­to­rise pas de commen­taire. En espé­rant que ce soit le seul.

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