Si l’on s’amuse à taper Boulogne‐Billancourt dans le moteur de recherche de Météo France, on prend forcément peur.
Si pour les deux premiers jours, il est possible de passer entre les gouttes, la suite s’annonce très très délicate. Au final, le prix à payer de la semaine supplémentaire postée entre l’US Open et Roland‐Garros risque de se payer cash.
On peut déjà se poser la question d’un plan B car le central, même couvert, ne peut tenir la charge même si l’on décide de débuter les matchs à 10H du matin.
On entend aussi déjà les complaintes des joueurs qui seront peut‐être obligés de finir un match pour en commencer un autre quelques heures plus tard.
De là à penser que certains matchs auront lieu sur terre battue couverte dans des clubs de la région parisienne, il y a un pas que l’on ne franchira pas pour l’instant.
La seule bonne nouvelle c’est qu’avec des spectateurs peu nombreux la marge de manoeuvre en terme de programmation pour les organisateurs est plus flexible et suscitera peu de mécontents.
La quinzaine risque d’être plus longue que prévue au sens propre du terme comme au figuré.
Publié le samedi 26 septembre 2020 à 09:10