Le Masters Série de Monte Carlo est le plus « top » des tournois de l’ATP : une terrasse sublime, un village accessible, des joueurs tranquilles dans les allées. De quoi faire une chronique à la Stéphane Bern, d’autant que l’on en a gardé sous le coude.
Une ampoule et un allumé
La round table organisée par l’ATP est toujours un moment d’une rare intensité. Dimanche, nous étions donc conviés comme nos collègues à pouvoir interroger la crème du tennis mondial (PHM, Gasquet, Nalbandian, Nadal, Murray). Voila donc comment on se retrouve nez à nez avec David un peu à la suprise générale. Après avoir posé une question restée sans réponse, une autre à laquelle visiblement il n’avait pas envie de répondre, on comprenait vite que la bizutage avait eu lieu. En revanche, le face à face avec PHM fut un petit régal, à lire bientôt dans GrandChelem N°8. Un dernier mot, parce que on est aussi à Monte Carlo pour enquêter, un bruit court concernant la fameuse ampoule de Richard. Il se dit qu’elle serait provoquée par une pratique intensive.….du golf sans gant.…on imagine un peu pourquoi Guy Forget aurait moyennement apprécié la forme présentée à Winston Salem…
Nadal, la classe
Alors qu’on lui proposait un itinéraire sécurisé pour aller s’entrainer, Nadal a préféré fendre la foule. Ne négligeant pas un seul fan, le numéro 2 mondial a prouvé une nouvelle fois sa disponibilité le tout avec le sourire, on est loin de la mine renfermée d’Andy Murray.
Soderling et sa bombe
Connu pour être un joueur disons le peu fair play, nous avons descerné à Soderling le prix de l’élégance., car pouvoir se ballader dans les allées avec une compagne aussi « sclupturale » çà défie toutes les lois de la physique, même Santoro, jamais en reste et avec une « nouvelle » a du être surpris.
Publié le jeudi 15 mai 2008 à 06:47