Désigné nouveau directeur du tournoi de Paris‐Bercy, Guy Forget sait que la surface pose probléme. Le sélectionneur de l’équipe de France de Coupe Davis se penche déjà sur la question.
« On ne peut pas dissocier la vitesse d’un court de la qualité de la balle. Tu peux faire un court extrêmement rapide et une balle lente, le mariage sera à peu près convenable. A l’inverse, je pense que le court, cette année, est un peu plus lent que l’année dernière mais de toute évidence, il y a un petit souci avec la balle. Il faudra travailler sur cette association. Il ne faut pas non plus que la surface soit injouable, comme c’était le cas il y a quelques années lorsqu’Ivanisevic faisait trois aces par jeu. Si tu retrouves à une finale Karlovic‐Isner, ici, avec 45 aces chacun, ça devient ridicule. »
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Publié le lundi 14 novembre 2011 à 18:56