doutait

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Quelques heures avant de monter sur les courts de Stanford pour retrouver Rebecca Marino après un répit d’un mois, Marion Bartoli confiait à l’Équipe ses doutes sur son niveau de jeu : « Je reste vigi­lante […] Mon niveau de jeu reste à déter­miner en match : il y a toujours des incer­ti­tudes après une pause qui était de toute façon néces­saire. » Aussi, à l’ap­proche des grandes compé­ti­tions sur dur, la Française a tenu à parti­ciper à ce tournoi, elle qui foule les courts Californiens chaque année depuis 2003.

Hier encore face aux médias améri­cains, la 9ème joueuse mondiale affir­mait : « J’ai repris toutes les bases du projet progres­si­ve­ment. Il m’aura fallu quinze jours pour obtenir des séances suffi­sam­ment complètes pour être à mon maximum aujourd’hui. Les nouvelles sont donc bonnes […] »

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