Après la victoire historique de Jannik Sinner face à Djokovic en demi‐finale de l’Open d’Australie, ses deux entraîneurs, Darren Cahill et Simone Vagnozzi, ont fait un détour en conférence de presse.
Dans un moment de complicité, Jannik est entré dans la salle puis a demandé à Cahill : « Qu’est‐ce que ça fait d’entraîner Jannik Sinner ? »
Question à laquelle l’Australien a d’abord évidemment répondu avec humour.
« C’est un travail merdique, nous ne sommes pas assez bien payés, le gars nous donne du fil à retordre tout le temps, et il est toujours en train de prendre notre argent dans les parties de cartes. Et il prend beaucoup de plaisir à faire ce genre de choses ! »
En entendant ça, le jeune italien a immédiatement quitté la pièce en riant, et son coach a poursuivi avec un peu plus de sérieux.
« Non, plus sérieusement, c’était bien de tirer des leçons de ce match et de le voir s’attaquer à Novak au début de la troisième et surtout de la quatrième manche. Il a fait du bon travail en absorbant la pression que Novak lui mettait. En fin de compte, j’ai trouvé que les deux derniers sets ont été excellents de la part des deux joueurs et que Jannik a réussi à trouver le moyen de gagner. »
Publié le vendredi 26 janvier 2024 à 15:44