« Ma peau brûlait, mais, comme je l’ai expliqué aux médias français, je suis un lézard. J’adore jouer en Australie. J’adore ce type de conditions, quand il fait très chaud. Il neige à Paris, là, et il fait près de ‑7°C. Ici, le ciel est bleu, les courts sont bleus, tout est bleu… C’est un peu comme si vous receviez tout le bonheur du monde avec le début de l’année. Quand vous restez trop longtemps en hiver, sans lumière, c’est plus difficile. »
Stéphane Houdet, qualifié pour la finale de l’Open d’Australie en tennis fauteuil
Publié le jeudi 24 janvier 2013 à 16:35